Voce ancora umana (2011)

Quand j’écris une composition avec un texte, je me laisse inspirer par toutes les situations que la poésie offre, sans me poser de problèmes de langage ou de style. Peut-être que les gens bien-pensants de l’avant-garde seront scandalisés par cette pièce, ceux qui encore aujourd’hui ont horreur d’entendre un accord tonal ou une quelconque mélodie.
Je suis parti de la dodécaphonie, passé par l’avant-garde, mais maintenant je pense qu’il faut sortir du tunnel, se réveiller d’un sommeil aseptique où le pouvoir musical nous a obligé depuis des dizaines d’années. Le grand art n’est jamais fait avec la tête seulement, mais aussi avec le coeur. (Enrico Correggia)